Le catalogue Régional CEDEAO-UEMOA-CILSS des Espèces et Variétés est un instrument majeur du règlement semencier harmonisé. Il est prévu que sa mise à jour soit annuelle et son édition chaque deux ans. La mise à jour du catalogue régional se fait à partir des informations découlant des catalogues nationaux révisés par des Etats de l'espace CEDEAO-UEMOA-CILSS. En effet, le règlement semencier harmonisé dispose en ses articles 9 pour le Règlement C/REG.4/05/2008/CEDEAO et 80 pour le Règlement N°03/2009/CM/UEMOA, que le catalogue Régional est >.
Le système semencier fait référence aux différents moyens utilisés par les agriculteurs en vue d’obtenir des semences. Les sources de semences peuvent être regroupées en sources du secteur ‘formel’ et sources du secteur ‘informel’. En termes de quantités de semences utilisées par les petits producteurs, le secteur informel est de très loin le plus important, comptant environ 80-90 pour cent du total du stock de semences utilisées.
La bonne pratique portant sur la multiplication et diffusion de semences de qualité des variétés améliorées a été mise en œuvre au Niger par la FAO en collaboration avec les structures du Ministère en charge de l’Agriculture, les institutions de recherche agricole (INRAN et ICRISAT), les organisations des producteurs agricoles au sein desquelles, les agriculteurs‐multiplicateurs ont émergé et sont devenus des professionnels de semences.
Elle a été mise en œuvre dans le but de renforcer la disponibilité en semences de qualité, de créer les conditions d’une réponse rapide et facile aux besoins importants en semences de qualité dans les situations d’urgences agricoles, de renforcer la résilience des organisations paysannes à travers la production, la commercialisation de semences de qualité pour améliorer leurs revenus et relancer la filière semencière au Niger.
L’entreposage des semences est la conservation des semences dans des conditions d’environnement contrôlé afin de préserver la viabilité des semences (germination et vigueur) sur de longues périodes entre le moment de la récolte et celui où les semences
traitées sont semées par l’agriculteur.
Les petites entreprises privées permettent d’assurer la diversité du système d’approvisionnement de semences et de renforcer la concurrence au sein de celui-ci. Elles sont en contact étroit avec les agriculteurs et, de ce fait, engendrent des coûts de transport, de distribution et de supervision réduits par rapport à ceux des grandes entreprises semencières. Cependant, la création et la gestion de petites entreprises semencières requièrent des connaissances et des compétences techniques spécifiques. Ainsi, l’orientation et la formation peuvent jouer un rôle considérable.
Le but de ce module est de fournir des informations aux formateurs des Écoles pratiques d’agriculture et de vie pour jeunes (JFFLS) afin qu’ils soient en mesure de parler des banques de semences communautaires, et en particulier de leur importance en ce qui concerne la sécurité semencière et alimentaire, l’agro-biodiversité et l’agriculture durable. Une série de discussions en petits groupes, de jeux de rôles, de saynètes et d’études de cas permettront de mettre en lumière le sujet des banques de semences communautaires.
Ce document contient des directives pratiques sur les installations et les méthodes de stockage pour aider les exploitants agricoles de l’Afrique australe qui sont fortement exposés aux aléas naturels, tels que les cyclones, les sécheresses et les inondations principalement.
Cette publication constitue une étape vers l’amélioration de la qualité et de l’efficacité des semences distribuées lors des opérations d’urgence. Il est nécessaire de comprendre les principaux aspects techniques des semences pour planifier et pour réaliser les évaluations sur la sécurité semencière ainsi que pour fournir des semences de qualité aux ménages vulnérables. Ce manuel a pour objectif de mettre à disposition du personnel de terrain chargé de ces opérations, les connaissances techniques de base requises.
Pour réussir une culture semencière, les techniques culturales préconisées sont d’abord celles qui permettent d’optimiser le rendement d’une culture destinée à la consommation. En effet, la production de semences sur une plante ne peut être maximisée que si celle-ci a une croissance vigoureuse, un développement normal,
une floraison abondante, une fructification maximale et un état sanitaire parfait.
Ce guide pratique a pour but d’appuyer les groupes d’agriculteurs producteurs de semences de riz à améliorer la qualité des semences qu’ils vont produire. Il se veut une contribution à l’amélioration de la production rizicole au Mali.
Ce document décrit la tomate (Lycopersicon esculentum), les itinéraires techniques de sa production et conditionnement au Sénégal et la gestion des ennemis de cette cultures