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Deuxième épisode: Microdose ou la fertilisation localisée au moment des semis des cultures
Nous sommes à l’approche de la campagne hivernale. Grâce aux revenus obtenus à travers les opérations de warrantage conduites après chaque campagne par leurs organisations paysannes, de nombreux producteurs et productrices s’approvisionnent désormais en engrais à la boutique d’intrants. Suite à des actions de développement visant à une utilisation rationnelle des engrais, les producteurs et productrices l’utilisent dans leurs champs pour améliorer le rendement des différentes spéculations qu’ils cultivent. Dans la plupart des cas, les cultures au stade de levée présentent un état végétatif agréable à voir. -
Les filières de production d’engrais au niveau mondial
Cette note est extraite d’une étude intitulée « État, perspectives et enjeux du marché des engrais », janvier 2010. Cette étude a été réalisée par la société de conseil GCL Développement Durable et commanditée par le Ministère de l’Agriculture français. -
La culture hivernale d’oignon sur billon en zone sahélienne et soudano-sahélienne
Il est conseillé de solariser le sol de la pépinière avant le semis. Par ce traitement on chauffe bien le sol afin d'éliminer les champignons qui causent la pourriture des jeunes plants. Méthode : 2 à 3 semaines avant le semis bien labourer et irriguer le sol de la pépinière. Ne pas encore amender le fumier. Puis couvrir le sol avec du plastique polythène transparent et solide. Fixer le plastique à l’aide de grandes pierres au pourtour pour éviter que la chaleur s’échappe. Cette chaleur se forme à cause du rayonnement solaire et tue les champignons nuisibles. Laisser le plastique durant au moins une semaine. -
Effet de l’azote sur l’aptitude à la conservation des bulbes d’oignon (Allium cepa L.)
L’oignon est le deuxième produit d’exportation au Niger après l’uranium. Le « Violet de Galmi » est la variété la plus appréciée et recherchée par les consommateurs locaux et sous-régionaux. Ce travail a pour objectif d’évaluer les pertes dues à la conservation des bulbes d’oignon en fonction de la variation des unités d’azote apportées à la culture. Ainsi, quatre doses d’unité N, P et K (T2 : 30-3030 ; T3 : 60-30-30 ; T4 : 90-30-30 ; et T5 : 120-30-30) sont comparées à un témoin Zéro (T1 : sans engrais mais avec du fumier) dans un essai à quatre répétition. Les unités fertilisantes sont apportées en trois apports avec du NPK (15-15-15) et de l’urée (46-0-0). Les rendements obtenus sont : 17, 22, 28, 27, et 34 tonnes des bulbes par hectare pour les doses correspondant à T1, T2 ; T3 ; T4 et T5 respectivement. Les pertes sont évaluées en termes de nombre des bulbes pourries et pré-germés pour chacune de ces doses. Le taux de perte au bout de quatre mois de conservation est : 28,3 ; 16, 3 ; 34,6 ; 30,0 et 33, 5% pour T1, T2 ; T3 ; T4 et T5 respectivement. La dose d’engrais 30N30P30K (T2) permet d’obtenir un taux de perte de 16% au bout de quatre mois de conservation. Ce qui permettra au producteur d’améliorer son revenu car pendant la récolte, le sac de 130 kg de bulbes d’oignon ne dépasse pas 10 000 francs CFA (soit 15,25 €) alors que quatre mois plus tard, il peut atteindre 100 000 francs CFA (soit 152,55€). -
Les engrais verts
Cette fiche technique propose des informations sur les engrais verts