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zone sahélienne
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Guide de formation en lutte participative contre le striga dans le système de culture à base de sorgho
Le présent guide de formation est élaboré dans le cadre du projet : « Promotion des variétés de sorgho résistantes au Striga pour réduire les crises alimentaires dans la zone sahélienne Burkina Faso, Mali, Niger, Sénégal», projet financé sous l’Initiative pour la Réponse Globale à la Sécurité Alimentaire (IRGSA). Une initiative spéciale du gouvernement américain à travers USAID, destiné à aborder la question de la sécurité alimentaire dans la sous-région. Ce projet est géré par le CORAF/WECARD et coordonné par l’Institut d’Economie Rurale (IER) au MALI. Le manuel vise donc l’adoption par les producteurs du sorgho, des technologies améliorées de lutte contre le Striga pour faire face aux crises alimentaires que connaît actuellement l'Afrique de l’ouest et du centre. -
Technologies agricoles climato-intelligentes pour le Sahel et la Corne de l'Afrique de l'Afrique
Ce catalogue décrit une série de solutions agricoles pour les zones arides du Sahel et de la Corne de l'Afrique, utiles pour l'adaptation au changement climatique et l'atténuation de ses effets. Il est basé sur les interventions du programme Technologies pour la transformation de l'Agriculture en Afrique (TAAT). Ce programme, dirigé par l'Institut International d'Agriculture Tropicale (IITA),est à l'origine de nouvelles approches pour le déploiement de technologies éprouvées auprès des agriculteurs africains. TAAT est né d'un effort commun de l'IITA et de la Banque Africaine de Développement (BAD) et constitue un élément important de la stratégie « Nourrir l'Afrique » de cette dernière. TAAT fait actuellement progresser plus de 76 technologies à travers 88 interventions dans 28 pays, dont neuf pays de la zone agro-écologique sahélienne: Burkina Faso, Mali, Mauritanie, Niger, Sénégal, Soudan du Sud, Tchad et Éthiopie. -
La lutte contre les aléas climatiques au Burkina Faso - acquis et défis de l’agro-écologie : le cas de la Région Nord
En cette année 2012 où la communauté internationale focalise sa réflexion sur l’eau, il me semble utile de revenir de façon plus détaillée et plus quantitative sur le défi que représente la lutte contre les aléas climatiques, pluviométriques en particulier. Je me place pour ce faire dans une approche délibérément agro-écologique, en questionnant nos connaissances sur l’optimisation de l’usage de l’eau : l’eau pour les hommes, leurs troupeaux, leurs cultures, ainsi que le couvert végétal des espaces non cultivables. C’est ce dernier domaine qui est actuellement le plus menacé par la désertification ; c’est aussi celui où on manque le plus de connaissances et où les pratiques (la gestion) laissent le plus à désirer. Le présent texte est donc aussi un plaidoyer pour la poursuite tenace et sereine de travaux associant paysans, praticiens et chercheurs.